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Hamid Matoub - Tayri n tewser (Clip Officiel)

Tayri n tewser disponible sur les plateformes : https://bfan.link/tayri-n-tewser Réalisation : Achour Mokrani Paroles & Musique : Hamid Matoub Bendir & Derbouka : Rabah Oukrine Violon : Said Kermas & Farouk Banjo : Said Kermas Flûte : Youcef Saou Studio : Yamani Traduction : Yalla Seddiki Management Digital : Nassydi 📀 2023 Suivez #Hamid_Matoub 👇🏼 Facebook :   / hamidmatouboff   TikTok :   / matoub.hamid   Instagram :   / hamidmatouboff   L’amour au grand âge nous affole ; il est bien cruel, ne médisez pas. De souffrance et d’angoisse, le corps flétrit : l’amour a fait ma perte, je n’en dors plus.   Un vent de démence à l’improviste arriva, souffla sur moi, me laissant une fièvre fière. Seigneur Dieu, accorde-moi le salut : vers ma tête blanchie, l’amour se dresse et se tourne.  L’amour au grand âge nous affole ; il est bien cruel, ne médisez pas. De souffrance et d’angoisse, le corps flétrit : l’amour a fait ma perte, je n’en dors plus.   Pour moi, c’est souffrance nouvelle : quel malheur est le mien ! Tel est le coup qui s’est abattu sur moi en des terres lointaines. Depuis le jour où je la vis, le cerveau ni le cœur ne connurent la rémission. Elle est l’unique que je désire ; elle habite mon sang. L’amour au grand âge nous affole ; il est bien cruel, ne médisez pas. De souffrance et d’angoisse, le corps flétrit : l’amour a fait ma perte, je n’en dors plus.   Mon esprit se trouble et s’égare ; il veut suivre tous ses désirs. Mon cœur entre deux est déchiré ; où qu’il aille, il est écartelé. Et si je cède à mon désir, la raison me demandera des comptes. Prends garde, Hamid, prends garde : l’épreuve n’est pas aisée. L’amour au grand âge nous affole ; il est bien cruel, ne médisez pas. De souffrance et d’angoisse, le corps flétrit : l’amour a fait ma perte, je n’en dors plus.   Je me disais jadis : jamais une telle chose ne pourrait m’arriver. Aux gens, à l’ami, j’étais prodigue de conseils, s’ils me parlaient de pareilles amours. Hélas, je suis violemment pris au piège ; voici que l’amour à mon tour m’a ligoté et il me fait pleurer. L’amour au grand âge nous affole ; il est bien cruel, ne médisez pas. De souffrance et d’angoisse, le corps flétrit : l’amour a fait ma perte, je n’en dors plus.