Русские видео

Сейчас в тренде

Иностранные видео


Скачать с ютуб MOONYA - Monsieur Le President de Lounès MATOUB в хорошем качестве

MOONYA - Monsieur Le President de Lounès MATOUB 1 месяц назад


Если кнопки скачивания не загрузились НАЖМИТЕ ЗДЕСЬ или обновите страницу
Если возникают проблемы со скачиванием, пожалуйста напишите в поддержку по адресу внизу страницы.
Спасибо за использование сервиса savevideohd.ru



MOONYA - Monsieur Le President de Lounès MATOUB

#moonya #moonyazik #atypeekmusic #MatoubLounes #musiquekabyle #chansonkabyle 🎧 Fernet tiɣeṛɣeṛt n uẓawan i awen-iεeǧben ‎/ اختر خدمة الموسيقى المفضلة لديك: : https://orcd.co/4k3glkg Adaptation française par MOONYA de "Monsieur Le Président", une chanson de Lounès MATOUB. Guitare : M'henna Megueni Chant et Arrangements : Moonya Mixage : David Fontaine & Moonya Mastering : Ben Atypeek Music Traduction : Patricia Girardi & Moonya Edition et montage vidéo : Moonya Crédits Images : Fondation Matoub Lounes Remerciements : La Fondation Matoub Lounes, Malika Matoub, Omar Meguenni, Bachtarzi Ameziane, M'henna Megueni, Patricia Girardi, David Fontaine, Ben Atypeek Music. #matoub #Lounes_Matoub #chanson #kabyle#algerie #kabylie#adaptation #traductionfrançaise #omarmeguenni #mhennameguenni -------------------------------- Paroles : Jour maudit que celui de ma naissance Dans la main j’ai serré mes tourments Afin qu’ils ne lâchent pas leur étreinte Si mon cœur était une jeune pousse Je le jetterais au brasier Pour ne plus subir ses plaintes Mais c’est sous mon corps qu’il s’ensevelit Je dois le rassasier de rêves, Puisqu’il ne m’offre, lui, qu’insomnie. Vous avez ruiné ma vie et dérobé ma jeunesse, Vous m’avez arraché aux miens, Anéanti mes espérances. Le malheur imprègne mes os Avant que la mort sur moi se pose L’amertume de mon cœur lourd, De ma langue, je la balaierai. De ma langue, je la balaierai. Si, par bonheur, je pouvais fuir, Et à L’Aïd, venir à vous ...! Je viendrais vous visiter Vous parents que j’aime tant. Dans la lumière apparaissant, Votre trouble ne m’étonnera pas Ce n’est pas le visage de mon départ, Que vos yeux reconnaîtront. Que vos yeux reconnaîtront. Ne me reconnaissant pas Effrayé, mon fils me fuira. Quant à ma chère femme Se souviendra-t-elle de moi ? Je viendrai troubler leur vie Ils en perdront la voix. Puis nous étant retrouvés, Le village vers moi viendra. Le village vers moi viendra. C’est l’illusion de l’espoir Et mes rêves sont bien courts Le temps a changé mon nom Contre l’amulette du malheur La prison sur moi se referme, Et dessus mon sort s’inscrit : “Tu as signé, soumets-toi!” “A vie!” : tel est ton châtiment. “A vie!” : tel est ton châtiment. Monsieur le Président, C'est avec un coeur lourd que je m'adresse à vous. Ces quelques phrases d'un condamné étancheront peut-être la soif de certains individus opprimés. Je m'adresse à vous avec une langue empruntée, pour vous dire, simplement et clairement, que l'Etat n'a jamais été la patrie. D'après Bakounine, c'est l'abstraction métaphysique, mystique, juridique, politique de la patrie. Les masses populaires de tous les pays, aiment profondément leur patrie, mais c'est un amour réel, naturel, pas une idée: un fait. Et c'est pour cela que je me sens franchement le patriote de toutes les patries opprimées.

Comments