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Vie et paroles du Maître Philippe - 5 - Anecdotes 7 лет назад


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Vie et paroles du Maître Philippe - 5 - Anecdotes

Ajoutée le 7 juin 2017 "M. Philippe se trouvait un jour dans un compartiment de chemin de fer en compagnie d’un évêque et d’un homme de sa connaissance qui était ami de l’évêque. La conversation fut amenée sur des questions théologiques. « D’après ce que vous venez de dire, demanda l’ami de l’évêque à M. Philippe, la prière devient inutile ; « il lui répondit qu’au contraire la prière était nécessaire et même indispensable et il lui en donna des preuves évidentes. L’évêque, comprenant qu’il se trouvait en présence d’un homme d’une intelligence transcendante, lui dit alors : « Puisque vous pouvez prédire l’avenir, pourriez-vous me rappeler un fait personnel qui se soit produit antérieurement ; « M. Philippe lui répondit alors que, lorsqu’on pouvait prédire l’avenir, on était forcément à même de connaître le passé et que, puisqu’il désirait qu’il lui rappelât un fait de sa vie passée il allait le satisfaire. « Il y a plusieurs années, dit-il, un membre de votre famille fut trouvé pendu à l’espagnolette de sa fenêtre et l’on eut la certitude d’un suicide. Votre parent ne s’est pas suicidé, il a été assassiné d’abord, et ensuite son cadavre a été pendu pour simuler le suicide ». L’évêque très surpris déclara que c’était l’exacte vérité, mais qu’il était d’autant plus étonné qu’il se croyait le seul dépositaire de ce secret de famille. Le soir à la veillée M. Philippe disait souvent des choses comme : « Ton beau-frère lit en ce moment tel journal. - L’empereur d’Allemagne vient de dire ceci, etc. »). Et, devant notre étonnement, il disait : « Savez-vous pourquoi mon esprit peut s’étendre ainsi simultanément partout ; simplement parce que je suis le chien du Berger et que j’ai le droit de me promener dans toutes les terres du propriétaire ». Une nuit, revenant de son laboratoire, M. Philippe, après avoir traversé le pont Morand, me pria de l’attendre quelques instants. Il alluma sa pipe et descendit sur la berge du Rhône. Là il se dirigea vers trois hommes qui délibéraient sur un mauvais coup qu’ils voulaient faire. Le voyant seul aller de leur côté, ils se crurent découverts par la police et, lorsqu’il les interpella, ils commencèrent à nier. « Ne niez donc pas, leur dit-il, et, à l’un d’eux : c’est toi qui as donné l’idée ». Ils répondirent qu’ils étaient sans travail et acculés à la misère. Alors M. Philippe promit de leur apporter le lendemain, à un rendez-vous qu’ils fixèrent ensemble, la somme nécessaire à leur établissement. N’ayant pas la somme, il dut l’emprunter. Ces hommes s’établirent par la suite et M. Philippe a dit que jamais commerçants n’ont été plus honnêtes qu’eux. Un jour M. Philippe accosta devant moi un pauvre homme assis sur ses talons, qui mendiait à une extrémité de la passerelle du Collège. Ses jambes, écrasées par une voiture, étaient paralysées. On l’amenait là et on le rentrait le soir avec une petite voiture. M. Philippe lui dit : « Je connais quelqu’un qui pourrait te guérir. Il faut bien demander à Dieu et tes jambes marcheront de nouveau. Tu promets de demander à Dieu ; - Oui », répondit-il. Et le Maître me dit en partant : « Il ne demandera rien du tout ; c’est déjà la deuxième existence qu’il passe ainsi estropié. Il ne veut pas travailler ». A la séance un homme à l’allure arrogante faisait à haute voix des observations malveillantes pendant que M. Philippe parlait : « Il faut être idiot pour croire à toutes ces bêtises", et autres propos du même ordre,. M. Philippe, passant près de lui dans sa tournée, le pria de l’accompagner dans la pièce voisine. Là il lui dit : « Pourquoi tel jour, à telle heure, as-tu étranglé cette femme ? J’étais à côté de toi ». L’homme tomba à genoux, suppliant M. Philippe de ne pas le livrer à la police. « A la condition, lui fut-il répondu, que tu changes de vie et que tu suives ta religion. - Si je suis ma religion, je devrai me confesser. - Tu t’es confessé à moi, cela suffit ». Et l’homme partit en pleurant."...

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